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Rencontre littéraire avec l'écrivain Fouad Laroui au Café Blossom à La Haye

Mercredi 30 janvier 2019 | 15:00 – 17:00 | Café Blossom | Anna Paulownastraat 70C | 2518 BH La Haye | T. 070 2111813 | https://www.cafeblossom.nl

Pour info: ahelene@xs4all.nl

 

L'écrivain Fouad Laroui s'entretiendra avec Anja-Hélène van Zandwijk sur son oeuvre littéraire. Rencontre en collaboration avec l’Alliance française de La Haye et La Librairie Nomade.

Fouad Laroui, marocain de naissance, ingénieur formé à l'économie en Grande Bretagne, aujourd'hui professeur de littérature à l'université d'Amsterdam, publie aussi bien des essais que des romans. Fouad Laroui est également chroniqueur littéraire à l'hebdomadaire Jeune Afrique, la revue Économia et à la radio marocaine Médi 1.

Il est, entre autres, l’auteur d’Une année chez les Français ; La Vieille Dame du riad; L’Étrange Affaire du pantalon de Dassoukine (Goncourt de la nouvelle 2013) ; Les Tribulations du dernier Sijilmassi (prix Jean-Giono 2014). Tous ces ouvrages sont parus aux Éditions Julliard et plusieurs romans ont été traduits dans une dizaine de pays. 

Il publie un premier essai aux Éditions Robert Laffont en 2006, De l’islamisme, une réfutation personnelle du totalitarisme religieux.

Nous dialoguerons avec l’écrivain sur son parcours dans la vie et son œuvre littéraire et vous inviterons à discuter de son dernier roman: L’insoumise de la porte de Flandres, qui vient de paraître.

Sur le roman : Fatima, jeune Marocaine de Molenbeek, est voilée et promise à un homme qu'elle n'aime pas. Étudiante cultivée, elle se produit aussi, loin de son quartier, dans un peep-show de Bruxelles. Une fable subtile sur une identité tiraillée.

Fatima ne se sent pas vraiment chez elle dans ce qu'on appelle pourtant son quartier à Molenbeek. Cachée sous sa djellaba, elle ressent plutôt l'environnement comme celui des hommes auxquels elle n’appartient pas. Fatima, étudiante à l'Université libre de Bruxelles, qui ne subit aucune pression religieuse de la part de sa famille, a pourtant choisi de porter le hijab. Pourquoi ? « C'était d'autant plus incompréhensible qu'elle ne faisait jamais la prière et que personne ne se souvenait de l'avoir vue dans une mosquée.

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