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Tournée littéraire avec Martin de Haan sur Sérotonine de Houellebecq et les liaisons dangereuses de Laclos

Alliance française de Rotterdam  |  mardi 11 février 2020  |  18:30 - 20:30  |  Galerie de l'AFR  |  Westersingel 14  |  
3014 GN Rotterdam | +31 63458 0025 ou +31 104360421

Infos et Réservations: https://www.alliancerotterdam.nl/news/martindehaan/  bonjour@alliancerotterdam.fr

Alliance française de La Haye  |  mercredi 12 février 2020  |  17:30 - 19:30  |  Emmapark 6  |  2595 ET Den Haag  |  
T. +31 (0) 70 362 1523

Infos et Réservations : https://aflahaye.nl/rencontre-avec-martin-de-haan-12-fevrier/   communication@aflahaye.nl

Alliance française d’Amsterdam  |  jeudi 13 février 2020  |  18:30 - 20:00  |  Centrale OBA Prinsenzaal 6.3  |  Oosterdokskade 143  |  1011 DL Amsterdam  |  
T. + 31 (0) 20 523 0742
Infos et Réservations: https://www.afamsterdam.nl/nl/cultuur/martin-de-haan/   bonjour@afamsterdam.nl   

Sites de Martin de Haan:  https://www.hofhaan.nl/   https://www.tovertaal.nl

Soirées autour de Michel Houellebecq avec son traducteur Martin de Haan qui nous entretiendra sur son dernier roman Sérotonine ainsi que sur sa nouvelle traduction des liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos, dans le cadre d'une interview par Anja-Hélène van Zandwijk

 

Traducteur et critique littéraire, Martin de Haan a traduit de nombreux romans d’entre autres Choderlos de Laclos (Riskante relaties – Les Liaisons dangereuses) pour lequel il a reçu un prix, de Marcel Proust (Swanns kant op - Du côté de chez Swann), Denis Diderot (Jacques de fatalist – Jacques le Fataliste), Benjamin Constant, Régis Jauffret et de Jean Échenoz. Martin de Haan est le traducteur attitré de Milan Kundera et de Michel Houellebecq. Sur ce dernier, il a produit une critique littéraire (Aan de rand van de wereld: Michel Houellebecq).

https://www.hofhaan.nl/2017/martin-de-haan/traduire-houellebecq/ "Traduire, Houellebecq : deux choses qui ont fait ma vie et mon bonheur depuis bientôt vingt ans. En le traduisant, j’espère surtout avoir réussi cette « ironie à double détente » qu’il évoque dans « Mourir », en parlant de l’influence de son père. J’en vois les traces partout : dans ses romans, dans ses essais, même dans certains poèmes (mais plus rarement). C’est cette ironisation de l’ironie, cette oscillation quasi-permanente entre humour et pathos, qui fait de lui un très grand écrivain européen. N’en déplaise aux Français."

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